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Les relations italo-albanaises ont eu des périodes de fortes crises et d’épanouissement, de tension et de calme, des hauts et des bas, des antagonismes et des ententes. Une Albanie, dans les premiers pas de l’édification d’un État, une jeune monarchie qui cherchait à consolider son indépendance et une Italie où le fascisme et l’expansionnisme à tout prix en direction de la rive opposée de l’Adriatique constituaient l’axe stratégique de la politique extérieure.
Deux mois après la « marche sur Rome », le gouvernement fasciste déclare que « L’amitié antique sera renouvelée » également avec la petite Albanie.
La fin de 1934 marquerait le point culminant de la résistance albanaise, vouée à l’échec face à l’offensive fasciste. Zogu finirait par donner les premiers signes de sa soumission graduelle, en renonçant à toute velléité d’action indépendante en matière de politique intérieure ou extérieure.
Les questions importantes de cette période sont suivies en détail, comme l'Albanie dans le traité italo-yougoslave (1925-1926), le pacte de Tirana, la lutte politique pour l'alliance de défense, le rôle et la position de l'Italie dans la création de la monarchie albanaise, les contradictions et la crise des relations italo-albanaises au début des années 1930, etc.
Une ampleur de l'information, une richesse des sources d'archives albanaises ou étrangères, des analyses détaillées expriment également la contribution que l'auteur apporte à son étude.
TABLE DES MATIERES
CHAPITRE I
Les relations albano-italiennes dans le contexte européen (1920-1926)
La question de la stabilité politique de l’Albanie et l’Italie (1920-1924)
L’Albanie dans la rivalité italo-yougoslave (1925-1926
CHAPITRE II
Le renforcement des relations albano-italiennes, les pactes de Tirana (1926-1927)
Le premier Pacte de Tirana
Le conflit politique sur le Traité d’alliance défensive
CHAPITRE III
Le conflit italo-albanais (1928-1934)
Le rôle de l’Italie à l’instauration de la monarchie en Albanie
Les désaccords italo-albanais
Deux mois après la « marche sur Rome », le gouvernement fasciste déclare que « L’amitié antique sera renouvelée » également avec la petite Albanie.
La fin de 1934 marquerait le point culminant de la résistance albanaise, vouée à l’échec face à l’offensive fasciste. Zogu finirait par donner les premiers signes de sa soumission graduelle, en renonçant à toute velléité d’action indépendante en matière de politique intérieure ou extérieure.
Les questions importantes de cette période sont suivies en détail, comme l'Albanie dans le traité italo-yougoslave (1925-1926), le pacte de Tirana, la lutte politique pour l'alliance de défense, le rôle et la position de l'Italie dans la création de la monarchie albanaise, les contradictions et la crise des relations italo-albanaises au début des années 1930, etc.
Une ampleur de l'information, une richesse des sources d'archives albanaises ou étrangères, des analyses détaillées expriment également la contribution que l'auteur apporte à son étude.
TABLE DES MATIERES
CHAPITRE I
Les relations albano-italiennes dans le contexte européen (1920-1926)
La question de la stabilité politique de l’Albanie et l’Italie (1920-1924)
L’Albanie dans la rivalité italo-yougoslave (1925-1926
CHAPITRE II
Le renforcement des relations albano-italiennes, les pactes de Tirana (1926-1927)
Le premier Pacte de Tirana
Le conflit politique sur le Traité d’alliance défensive
CHAPITRE III
Le conflit italo-albanais (1928-1934)
Le rôle de l’Italie à l’instauration de la monarchie en Albanie
Les désaccords italo-albanais
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